Dans Les Echos (http://bit.ly/1EtZSgB), Marie-Sophie RAMSPACHER nous fait part du lent déploiement de la BDU dans les entreprises de +300 salariés qui ont déjà mis en place des solutions depuis juin 2014. Les raisons ? Des données qui figurent déjà dans le bilan social, un nouvel outil qui rajoute à la complexité, une facture assez lourde en terme d’investissement à l’achat et pour le fonctionnement de l’outil et la sacro-sainte question de la confidentialité des données en cas de projets d’acquisition ou diversification… Cependant, la BDES se substitue aux précédentes obligations de communication Direction IRP. A ce stade, la question qui me vient c’est pourquoi les entreprises voient la BDES comme une contrainte administrative supplémentaire et pourquoi les organisations syndicales locales ne se saisissent pas du sujet ?
Et ceci alors que les entreprises de -300 salariés n’ont pas encore réfléchi à la question BDES (Base de Données Economiques et Sociales)…
Tanguy Daniellou